Le Handicap suite à un accident de vie, comment vivre « l’après » ?

Un accident de vie qui peut être un accident de la route, une agression ou même encore un accident médical peut laisser des séquelles gravissimes constitutives d’un handicap majeur.

Comment vivre par la suite, atteint ou atteinte d’une paraplégie, d’une amputation ou d’une tétraplégie ?

Comment accepter de ne plus pouvoir marcher, bouger et comment surmonter le traumatisme de vie ? Comment accepter d’avoir été au mauvais endroit, au mauvais moment ?

Après l’évènement et la phase d’hospitalisation qui suit ainsi que la phase de rééducation, le blessé retourne bien souvent au domicile.

S’amorce alors la phase de deuil, de reconstruction.

La phase d’indemnisation a bien souvent commencé par l’ouverture d’un dossier chez un avocat spécialisé en indemnisation du préjudice corporel et le versement d’une première provision amiable ou judiciaire à valoir sur l’indemnisation du préjudice corporel.

Commence également le long travail de reconstruction psychologique consistant à se fixer de nouveaux objectifs : un défi personnel pour continuer de vivre, voire de vivre des choses nouvelles !

Certains se lanceront un défi sportif, d’autres un défi professionnel.

D’autres préféreront un projet d’intérêt général qui consistera à mettre sa propre expérience de vie au service des autres.

Toujours est-il que ces projets font « grandir ».

Comment, me direz-vous, peut-on préparer de tels projets ?

Pour ma part, je n’évoquerai que l’aspect financier.

Il est en effet important de rebondir après un accident de vie ayant laissé un lourd handicap.

L’indemnisation du préjudice corporel donne les moyens de rebondir et de continuer sa vie et peut financer de nouveaux projets.

Pour autant, cela repose sur une étude parfaite du dossier et des attentes du client.

Cela repose également sur une complicité et une entente entre le client et son avocat. L’avocat doit être à l’écoute et faire avancer le projet de vie avec son client.

Ce projet de vie doit être défendu en expertise par l’avocat mais également par le médecin conseil qui assiste la victime pour faire reconnaitre l’existence d’un préjudice professionnel et présenter le projet futur afin d’obtenir une réparation financière.

L’avocat doit également chiffrer tous les autres postes de préjudice.

Cela repose par la suite sur un chiffrage que seul un avocat spécialisé en indemnisation du préjudice corporel est en mesure de parfaitement réaliser.

Il est indispensable que l’indemnité soit bien chiffrée et bien défendue en transaction comme au judiciaire.

Ma grande satisfaction sera de donner la chance à mon client de rebondir et de poursuivre son chemin, en l’aidant à réaliser son projet. Cette personne pourra même être aussi heureuse qu’avant car elle aura su s’adapter et que je lui aurai fourni les moyens pour s’accomplir.