Étude de cas victimes d’attentat
Ce qui lui est arrivé :
Monsieur NZ est présent au Bataclan le soir du 13 novembre 2015. Il fait partie des victimes de ce terrible attentat. S’il n’a pas de blessure physique, ses séquelles psychologiques sont très importantes. Il a en effet vécu ce qui s’apparente à une scène de guerre. Le stress post traumatique est très important dans son cas.
Ce que j’ai fait et obtenu en indemnisation du préjudice causé par cet attentat :
A la difficulté de la gestion du dossier, se rajoute la difficulté d’appréhender ce type d’affaire sur le plan humain, s’agissant de circonstances traumatiques exceptionnelles.
J’ai reçu cette personne en toute simplicité, en toute humanité car c’est bien le plus important.
J’ai assuré la gestion de ce dossier en prenant contact avec le Fonds de garantie des actes de terrorisme. Le combat indemnitaire contre le Fonds de garantie est long et fastidieux car les promesses d’indemnisation faites par cet organisme après l’attentat ne sont pas forcément tenues lorsqu’il s’agit de régler.
Le dossier a suivi un parcours hiérarchique au sein du Fonds de Garantie car cet organisme refusait d’indemniser le préjudice d’agrément et j’ai finalement obtenu gain de cause sur le principe de ce préjudice et sur le montant de l’indemnité.
J’ai obtenu une très bonne indemnisation pour cette victime.
J’ai également assisté mon client au procès pénal.